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Le "gros mot" le plus fréquent en science divine

C'est le mot "Dieu"

Lorsqu’on posa la question à Albert Einstein : « Croyez-vous en Dieu ? », il répondit : « Dites-moi ce que vous entendez par Dieu, et je vous dirai si j’y crois ! » C’était la bonne réponse.

     

Pour la science divine « Dieu » n’est pas un super-héros. Ce n’est pas un Père Noël de substitution. Ce n’est pas une projection du surmoi. En un mot, Dieu n’est pas une personne (au sens moderne du mot). Ce n’est pas quelqu’un (ou quelque chose) auquel on « croit » ou on ne « croit » pas.


« Dieu », c’est un mot qui désigne une expérience. C’est un mot qui désigne un état. C’est un mot qui désigne la plénitude infinie de l’être. Dès que l’on cherche à s’en faire une image, nous savons qu’elle est fausse.


Un praticien du traitement spirituel croit-il en Dieu ?


Soyons francs, « croire en Dieu » n’intéresse pas vraiment le praticien de la science divine. Ce qui l’intéresse, c’est d’en faire l’expérience. Une petite partie du temps que nous passons devant notre téléviseur suffit pour faire cette expérience. Comment nous y disposer ?


Lire un traité rationnel sur « les preuves de l’existence de Dieu » ne permet pas d’en faire l’expérience. Ces « preuves » ont été développées par des auteurs (Thomas d’Aquin, Anselme) qui avaient déjà fait l’expérience de Dieu. Elles avaient pour seul but de montrer les conséquences rationnelles qu’impliquaient logiquement cette expérience.  


Se disposer à cette expérience, cela n’a rien de compliqué. Prenons un exemple.


Un exemple concret : « Dieu opérant en tant que vie »


Un certain Iohanân, auteur palestinien du 1er siècle de notre ère, nous dit que Dieu opère en tant que « vie ». Plus précisément, que le « Parler de Dieu » a la vie en lui. Cela paraît bien abstrait. Et pourtant…


« Dieu opérant en tant que vie », n’importe quel esprit sensé le voit à l’œuvre. Il fait surgir du grain de blé l’épi dont nous tirons le pain.


Contre toutes les forces de la gravitation, « Dieu opérant en tant que vie » fait croître un tuyau à la verticale, capable de percer le sol, puis de s’élever jusqu’à s’épanouir en épi.


Partout, nous voyons « Dieu opérant en tant que vie », nous voyons sa puissance à l’œuvre dans le plus modeste des brins d’herbe. « Dieu en tant que vie » fait mûrir, comme il fait renaître. À la manière du soleil qui fait s’ouvrir la fleur sans avoir de mains. Ou de l’aimant dont la force invisible attire le fer.


« Dieu opérant en tant que vie », c’est une force, un pouvoir. Voyez le frêle végétal qui se fraie un chemin jusqu’à briser la pierre si « concrète » qui l’entravait.


À vous de jouer !


Je vous ai donné un exemple de ce que pouvait évoquer « Dieu opérant en tant que vie ». Le même Iohanân nous affirme aussi que « Dieu est amour », que « Dieu est vérité qui libère de toute forme d’esclavage ».


Sauriez-vous trouver une ou deux idées de ce que pourrait évoquer « Dieu opérant en tant que vérité », et « Dieu opérant en tant qu’amour » ?


Si oui, envoyez les nous et nous les publirons dans les "Témoignages"  info@gnosis-plus.com

Témoignage

Témoignage

Témoignage

« Tu ne peux pas voir ma face, car l’homme ne peut me voir et vivre" Exode 33:20.


" L’homme ne peut voir que l’effet de Dieu. Si l’homme pouvait voir Dieu comme Dieu se voit lui-même, l’homme serait Dieu. Et si l’homme était Dieu, il n’y aurait pas d’effet et il ne se verrait pas lui-même. Donc, aucun homme ne peut voir la face de Dieu et vivre.

Puisque vous ne pouvez voir que l’effet de Dieu, tout ce dont vous êtes conscient est Dieu en manifestation. Dans la communion entre l’homme et Dieu, entre l’idée et son Principe, Dieu apparaît sous la forme d’un langage que vous pouvez comprendre 


Vous êtes environné de gens, de minéraux, de végétaux, de montagnes, de rivières, de mondes qui s’entassent les uns sur les autres. Tout cela est le Réel car tout cela est en Dieu. Mais tout cela est le Réel interprété en termes qui vous sont accessibles. C’est le Réel traduit par votre petit moi. Ce n’est pas le Réel tel qu’il est. Un homme dont la relation consciente avec la cause serait plus affinée percevrait ce monde différemment. Le Réel serait le même, mais la réalité dans laquelle il se meut lui apparaîtrait différente..."

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