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L’approche méthodique de Denis Labouré permet de comprendre bien des clés utiles à nos pratiques méditatives ou d'oraison :


       1.     Il n’existe pas un corps avec “une âme et un esprit à l'intérieur”. Ce modèle du « scaphandrier » est illusoire, car

               comment un corps limité fini pourrait-il contenir un élément infini tel que l’Esprit ?


       2.     Notre corps est en réalité la projection inconsciente de notre niveau de conscience, tout comme le monde matériel

               qui nous entoure. Notre corps est le concept que nous avons de nous-même, et ce concept varie en fonction de

               notre degré d’éveil.


       3.     Notre « petit-moi », "personnalité" est souvent le facteur de blocage pour une vie heureuse, abondante et harmonieuse.




La méthode de prière préconisée par John Doorly, présentée dans cet ouvrage pare Denis Labouré, consiste à comprendre que Dieu n’est pas un “barbu fait à notre image humaine”. Comme nous ne pouvons pas appréhender la totalité de la nature infinie de Dieu, nous pouvons nous servir des 7 jours de la Création pour comprendre les 7 aspects du divin.  Cette perception quelque peu “kaléidoscopique” de Dieu est un marche-pied commode à une compréhension optimale de sa nature infinie par notre intelligence finie.


L’identification des 7 contrefaçons  (ego, matière, cinq sens, hasard, mort, mensonge, peur), nous permet de les renier efficacement.  Si elles sont perceptibles, elles n’ont pas pour autant d’existence propre . Dans un cauchemar, nous percevons la peur, l’horreur, les scènes, les sensations, etc … Mais au réveil, nous savons qu’elles n’ont pas existés, même si toutes ces scènes nous semblaient bien  réelles ! Il en va de même pour le déroulement de nos vies.


Petit à petit, les éléments se réorganisent.  Le processus de « métanoïa » s’enclenche. Nous percevons de plus en plus la profondeur de ce monde, sa proximité avec le plan divin, et comprenons comment le divin agit en nous pour nous donner vie, santé, amour, joie, abondance. Cela rejoint la prière concrète telle qu’enseignée par Jesus de Nazareth. A la relecture de ses paroles, nous prenons ainsi la pleine conscience de son enseignement pour guérir les souffrances qui nous entourent. Il nous a montré le « chemin ». Croire en lui, c’est non seulement suivre son chemin mais surtout comprendre et appliquer cette méthode pratique de guérison.


Par cette méthode de prière, lorsque notre niveau de conscience se calle un bref moment sur la fréquence  des lois divines, notre perception erronée se corrige instantanément et c’est ce que nous appelons une « guérison ». Le côté instantané  de cette « guérison », lorsqu'elle nous apparait,  nous permet de nous convaincre de la véracité de l’enseignement, de ne plus douter et de ne pas la considérer comme un « miracle » hasardeux.

Guérir par l'Esprit

Métaphysique appliquée

L'auteur

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Dans cet ouvrage, Denis Labouré commence par revisiter l’allégorie de la caverne de Platon pour nous faire comprendre le coté illusoire, hypnotique de la réalité telle que nous la percevons par nos cinq sens.  


Quelques points clés abordés :


- la conscience divine est la source, la cause, et la conscience de l’homme est l’effet ;

 

- le monde dit “matériel” est le réel vu imparfaitement par nos 5 sens ;

 

- une erreur corollaire est d’opposer le « divin » au « matériel », et de rejeter tout aspect matériel pour le spirituel. En réalité, notre vie matérielle est le reflet de notre état de conscience ;

 

- notre expérience quotidienne reflète notre état de conscience.



Le séminaire audio est disponible à l'adresse suivante: Cliquer sur l'image.













Né le 24 Octobre 1956 à Paris. Il s’engage tôt dans une carrière d’enseignant, tandis qu'il est plongé dans l'étude de plusieurs disciplines dites "hermétiques" depuis son plus jeune âge. Cela l'amènera très vite à réorienter sa carrière en ouvrant un cabinet d'astrologie. Alliant érudition et pratique, il écrit des ouvrages traitant des sciences hermétiques (astrologie, alchimie, théurgie). Fort de son talent de pédagogue, il organise de nombreux séminaires pour permettre à tout un chacun d’aborder la spiritualité avec simplicité et profondeur.

Talks at the Oxford Summer School

John Doorly, 1949



Quelqu’un m’a demandé : « Comment puis-je me servir de la science ? » Bien, le fait est que vous ne vous servez pas de la science – vous la laissez vous utiliser. Tout ce que vous avez à faire, c’est de la cultiver, la comprendre, la vivre, l’aimer. Et ensuite elle vous utilisera.


Supposez que quelqu’un fasse appel à vous pour obtenir de l’aide, ou supposez que vous ayez un problème à résoudre, comment devez-vous vous y prendre ? Commencez à penser à Dieu. Dites-vous, par exemple : « Dieu est Entendement ; ça signifie que Dieu est toute puissance, toute sagesse, toute intelligence, toute action » et méditez ces idées. Ensuite, pensez « Dieu est Esprit, toute substance, ordre divin infini, la seule réalité », et ainsi de suite, et méditez ces idées. Ensuite, poursuivez avec les autres synonymes.


Au fur et à mesure que vous saisissez de cette façon les idées divines, votre pensée commence à être en harmonie avec Dieu, le Principe divin de toute chose. Et si vous êtes honnête, vous constaterez, avec autant de certitude que le jour succède à la nuit, que votre pensée se développe le long d’une certaine ligne qui met à nu l’erreur de la situation que vous traitez. Votre capacité à mettre à nu les erreurs de calcul est proportionnelle à votre connaissance de l’arithmétique. Mais c’est la vérité de l’arithmétique qui les met réellement à nu pour vous, ce n’est pas ce que vous pensez de l’arithmétique. De la même façon, quand vous commencez à remplir votre pensée avec la vérité concernant Dieu et l’homme de Dieu, les idées de Dieu qui viennent à vous mettent à nu l’erreur. Mais la puissance, l’être, la substance, le salut est dans l’idée [divine], pas dans ce que vous pensez à son sujet.


Quand quelqu’un vient me demander de l’aide, je commence toujours par penser à Dieu. J’avais l’habitude de toujours commencer par l’Entendement et finir par l’Amour, mais ma pensée peut maintenant commencer n’importe où. Je peux me dire : « Dieu est le Principe unique, et le Principe se traduit par l’idée ; toutes les idées sont les idées du Principe, car le Principe est Entendement. Elles sont à jamais identifiées avec le Principe, car le Principe est Âme ; et elles forment toutes ce même reflet infini qu’est l’Esprit ; et ce reflet a pour essence la nature de la Vie, de la Vérité et de l’Amour. » En faisant ça, j’établis la vérité dont la situation matérielle est le mensonge. Je vois que la seule chose qui soit à propos de cette situation, c’est l’idée ; idée à jamais gouvernée, interprétée et démontrée par le Principe, identifiée au Principe, éternel et vrai reflet de la Vie, de la Vérité et de l’Amour. Alors je pense ; bien, qu’est-ce que la Vie ? Elle est infinie, immortalité infinie, résurrection infinie ». Alors je remplis ma pensée avec la Vérité et l’Amour d’une façon similaire. Avant d’en avoir terminé avec cette façon de raisonner, je constate que l’erreur de la situation que je traite est devenue très définie dans ma pensée. Là, je poursuis pour la détruire.


Rappelez-vous que l’erreur d’une situation est très rarement ce que les sens physiques vous en disent. Par exemple, il y a quelques années, un homme vint à mon bureau pour me dire :


« Je suis chirurgien, et j’ai vu un cas d’arthrite rhumatoïde que vous avez guéri. Or, ma femme est informe depuis des années à cause d’arthrite rhumatoïde ; nous la gardons sous médicament en permanence, et elle très déformée ; je me demandais si vous pourriez l’aider. »


Bien. J’allais voir cette femme et je lui dis :


« À partir de maintenant, je vais vous donner un traitement de science chrétienne, en fait c’est de la prière. Mais ça ne consiste pas à demander à Dieu de faire quelque chose. Ça consiste à comprendre Dieu afin que cette compréhension puisse opérer. »


Comme je m’asseyais à côté de son lit pour prendre conscience de la Vérité, il me vint soudainement que cette femme était médium. Elle vivait dans une atmosphère où on parlait tout le temps de maladie. En bon médium, elle les captait et elle les reproduisait dans son corps. L’erreur se mit en évidence comme le sommet d’une montagne. Alors je commençai à savoir que, du début à la fin, elle n’était médium que pour l’Entendement qu’est Dieu, car elle était une idée de cet Entendement, et je gérai la croyance selon laquelle elle était un médium pour le mental humain. En trois semaines, la femme fut parfaitement guérie. Après ça, elle m’emmena voir un spécialiste éminent qui était un de ses amis. C’était un homme charmant et très intéressant. Il me dit :


« Vous savez, monsieur Doorly, cette femme avait une dizaine de maladies dont vous ne pouviez pas avoir entendu parler. Nous avons tenté de la guérir pendant des années, mais nous n’avons pas eu le moindre effet sur l’une ou l’autre de ces maladies ; vous venez là et vous guérissez tout en trois semaines. Comment vous y-êtes vous pris ? »


Quand je lui expliquai qu’elle était médium, il dit ; « Je peux comprendre ça ». C’est alors qu’il me dit que son fils unique était mort et que la médecine n’avait pas pu le sauver. C’est la seule chose qu’il ait réellement demandé à la médecine et elle avait échoué. Après avoir investigué de nombreux domaines pour trouver la vérité, y compris la Science Chrétienne, il ne trouva rien que le satisfasse. Mais, de ses recherches, il tira une conclusion ; c’est qu’il n’existe aucun remède aux malheurs humains quels qu’ils soient ; maladie, chagrin, péché, à l’exception du spirituel. Et il était fermement convaincu d’avoir raison. Á partir de ce cas, vous voyez combien il est désespéré de diagnostiquer la cause d’une maladie en partant de l’évidence physique. Nous devons laisser le Christ venir à nous. Et il mettra à nu l’erreur de la situation, quelle que puisse être cette erreur.


Ainsi, si nous comprenons le Christ, nous n’avons pas à nous servir de lui, il se servira de nous. Ce serait une grande arrogance de notre part de penser que nous pourrions utiliser l’idée-Christ. Le génie de la Science, c’est de laisser le Principe divin – Vie, Vérité et Amour – se servir de nous. Dans son humilité, Jésus disait : « Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ! Au contraire, c’est le Père qui, demeurant en moi, accomplit ses propres œuvres » (Jean 14, 10).


Dès l’instant où un problème apparaît, nous devons commencer par penser à Dieu, et à recevoir ainsi les idées divines. Tout ce que nous avons à faire, c’est d’atteindre l’idée particulière qui annihilera l’erreur spécifique de la situation. Dès que nous avons atteint cette idée précise de Dieu dans une conscience spirituelle pure, nous avons mis en œuvre l’omnipotence, l’omniscience, l’omniprésence et l’omni-action.


Ainsi, si nous cherchons les choses spirituelles, si nous les cultivons, si nous les vivons, si nous les aimons, quand nous voudrons les utiliser nous les laisserons simplement nous utiliser.


Traduction Denis Labouré





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