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Qu’est-ce que la science divine ?


Chaque soir, lorsque nous étions enfants, mon frère et moi disions sagement notre prière. Un soir, dans sa prière, mon frère demanda l’obtention d’une bonne note pour l’interrogation écrite du lendemain. Il eut une mauvaise note. Vexé et déçu, mon frère n’a plus jamais prié. Il a 57 ans aujourd’hui. De mon côté, j’ai continué de prier. Certes, mon concept de la prière a beaucoup changé. Il a grandi, il a mûri. Aussi, je voudrais aujourd’hui faire passer une information à mon frère. Je voudrais lui dire qu’il y a deux millénaires, un certain Jacques lui a écrit une lettre. Ce Jacques était un proche parent de Jésus, un rabbi (maître) né à Bethléem. Voici un extrait de cette lettre :


« Vous demandez et vous n’obtenez pas, parce que vous demandez mal, et dans le but de dépenser pour vos plaisirs »

(Jc 4, 3 traduction Chouraqui).


« Vous demandez et vous n’obtenez pas, parce que vous demandez mal… » Il y a donc une bonne façon de prier. Il existe une science de la prière, des lois de la prière efficace. Si je n’ai pas appris à jouer du piano correctement, je ne dois pas être surpris de la cacophonie que j’en tire !


Ces lois de la prière scientifique sont dispersées dans les Écritures. Par exemple, ce même Jacques précise :


« Mais qu’il demande avec foi [c’est-à-dire avec confiance et lâcher-prise], sans éprouver le moindre doute ; car celui qui doute ressemble à la houle marine que le vent soulève » (Jc 1, 6).


Au XIXe siècle, plusieurs chercheurs se sont efforcés de dégager ces lois de la prière scientifique. En milieu culturel protestant, citons Phineas Parkhurst Quimby (1802-1866), Warren Felt Evans (1817-1889), Mary Baker Eddy (1821-1910) et ceux qui s’en inspirèrent (Frederick Rawson, Ernest Holmes, Thomas Troward, Ames Nowell, Joël Goldsmith, etc.).


Quimby fut le pionnier ; en bon magnétiseur ex-horloger, il commença à démonter les mécanismes sous-jacents à ses phénomènes de guérison. Evans fut le plus savant : en bon pasteur influencé par Swedenborg, il sut faire le lien avec les philosophes des temps passés et les diverses religions du monde. Mary Baker Eddy fut la meilleure organisatrice : centrée sur la Bible, elle consigna le fruit de ses recherches dans un livre resté célèbre (Science et Santé avec la clef des Écritures) et dans ses autres écrits.


Dans le but de dépenser pour vos plaisirs ?


Il était illusoire de demander une bonne note à l’interrogation écrite. Le Principe divin n’est pas un super-papa « demandant » que l’enfant travaille bien en classe. Comme il est tout aussi illusoire de « demander » la grosse voiture ou de gagner au loto. D’ailleurs, il est illusoire de demander quelque chose de précis, comme si notre petit moi savait ce qui convient le mieux à notre identité profonde !


Alors, à quoi puis-je m’attendre en priant scientifiquement ? La réponse est toute simple. Le premier récit de la création affirme :


« Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa. » (Gn 1, 27)


En priant scientifiquement, je peux m’attendre à ce que s’évanouisse ce qui contredit cette affirmation. Si l’homme véritable est à l’image de Dieu, le fait d’être malade signifierait que Dieu l’est aussi ; ça ne tient pas. Si l’homme véritable est à l’image de Dieu, le fait d’être dans la misère signifierait que Dieu l’est aussi ; ça ne tient pas non plus. Si l’homme véritable est à l’image de Dieu, le fait d’être mortel signifierait que Dieu l’est aussi ; ça tient encore moins !


Quelles sont ces lois de la prière scientifique ?


Quelles sont ces lois, me demanderez-vous ? La réponse tient en quelques lignes.

La guérison spirituelle repose sur un unique  principe: « Si je parviens, ne serait-ce qu’une fraction de seconde, à la communion consciente avec le divin, il en résulte une transformation de mon univers. » Faute d’un meilleur terme, cette transformation est nommée « guérison ».


Ce qui est cherché n’est jamais une guérison, c’est l’union consciente avec le divin. La guérison est une conséquence collatérale. Raison pour laquelle « Ça » guérit ce que « Ça » veut dans l’ordre où « Ça » veut. Le mot « guérison » désigne n’importe quelle discordance : professionnelle, relationnelle, affective, etc.


« Dans mon univers », cela veut dire « dans mon champ mental ». Une personne faisant appel à moi pour un problème peut voir son problème résolu, car elle est entrée dans mon champ mental. C’est à cela que s’attache le praticien à qui il est demandé de l’aide.


Pour parvenir à cet objectif, l’idéal est d’accéder spontanément à cette union consciente avec le divin. C’est la méthode suprême, la méthode ultime. Mais comme cet état spontané n’est pas si fréquent, il faut s’échauffer auparavant. Cette stratégie, c’est l’argumentation. C’est-à-dire un processus de raisonnement intérieur. Cette argumentation n’est pas un but en soi ; elle est un marchepied qui me dispose à l’union consciente avec le divin.

Les praticiens


En attendant de développer vos propres capacités de guérison, vous pouvez contacter des praticiens expérimentés:


Alexandre Fischer

Sensibilité chrétienne




Les séminaires


Une proposition de séminaires pour mieux appréhender le sujet :


Denis Labouré





Les  voies non-dualistes

Laisser le Divin agir en vous

Définition.


Le point de vue non-dualiste est celui qui considère que l'homme est Dieu en train de s'exprimer. Dieu-cause, homme-effet. Les pratiques non-dualistes sont celles qui consistent à prendre conscience de cette réalité par notre immersions dans les archétypes divins. Ces pratiques nécessitent dès lors de comprendre, d'intégrer et de vivre ce postulat de base. Le but est de faire coïncider et coexister notre conscience avec la conscience de Dieu.

Quelle approche pour démarrer

La méthode ultime

Ames Nowell

La voie infinie

Joël Golsmith

Technique du traitement spirituel  

Frederick L. Rawson

Guérir par l'Esprit

Denis Labouré

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